Un budget pour l'année prochaine ? Une suspension de la réforme des retraites ? Un socle commun ? Un nouveau premier ministre ? Un gouvernement de gauche ? Une dissolution ? Une destitution ? Une démission ? À toutes ces questions, Gérard Mordillat n'a, comme tout le monde, aucune réponse, alors il s'est demandé si on ne pouvait pas en rire un peu, pour ne pas en pleurer (et finalement, tout bien réfléchi, Gérard se donne 48 heures pour savoir s'il démissionne ou pas…).
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